Confessions d'un scèno-marin

Depuis 5 jours, je n'ai plus d'internet, ma freebox fonctionne, c'est la ligne, ils ont réparé mais, je suis encore coupé toutes les 5 minutes...

Alors, plus de billets sur mes blogs, plus de réponses aux mails, combien de temps ça va durer ???

Ouais... bon... En plus, il parait qu'on a élu un nouveau président, il y a des jours comme ça...

ADDENDA :
En fait, ils n'avaient rien réparé, le fait que ça refonctionne était simplement dû au hasard...

Un Cannois dispute à Bayrou l'appellation "Parti démocrate"

L'appellation "Parti démocrate" choisie par François Bayrou pour sa nouvelle formation politique désigne déjà un parti créé en 1981 par d'anciens radicaux de gauche, parmi lesquels Michel Grossmann, un retraité cannois qui revendique cette étiquette. "Avant d'annoncer le nom de ce nouveau parti, M. Bayrou aurait pu se renseigner. C'est comme si je me baptisais de votre nom. On n'est pas de la même famille, ça me choque, on n'a pas le droit", s'indignait vendredi Michel Grossmann, 75 ans, joint par l'AFP.

Adjoint au maire de Saint-Etienne (Loire) de 1977 à 1983, M. Grossmann assure être l'un des cofondateurs et actuel vice-président du "Parti démocrate", fondé en 1981 par des dissidents du Mouvement des radicaux de gauche (MRG) de l'époque, dont Guy Gennesseaux, ancien secrétaire national du MRG et ancien maire adjoint de Paris.

"Le MRG avait totalement joué le jeu de François Mitterrand pour l'élection de 1981, nous n'étions pas d'accord. Nous prônions des valeurs plus humanistes et plus libérales. Nous rêvions de créer un parti démocrate à l'américaine", raconte cet ancien commerçant installé à Cannes à la fin des années 80, comme l'a révélé le quotidien Nice-Matin.

Cette formation politique a par la suite été connue sous le nom de "Parti démocrate français (PDF)": "A l'usage, nous avons préféré cette appellation à cause des initiales", explique M. Grossmann.

Selon lui, le parti a compté jusqu'à 3.300 adhérents et 400 élus locaux, notamment municipaux, sur des listes d'union. Le PDF a encore présenté vingt candidats au élections législatives de 1988. Il s'était alors rapproché du RPR.

"C'est aujourd'hui une formation un peu en sommeil, mais c'est comme un fond de commerce sans stock dont l'enseigne existe toujours!", revendique M. Grossmann, qui a joint le siège de campagne de François Bayrou et attend un "signe" du leader centriste.

"Les idées du PDF sont assez proches de celles de M. Bayrou mais sa façon de faire n'est pas bonne: il devrait choisir un camp", estime Michel Grossmann qui votera pour Nicolas Sarkozy.

Pierre Albertini ne veut pas perdre la mairie de Rouen, tous les calculs sont faits, ils sont catastrophiques si Albertini va seul à la mairie.

Surtout que Sarkozy avec le système tant éprouvé carotte-baton, promet le désert pour les récalcitrants.
Il préfère risquer d'avoir quelques députés de moins et infliger une bonne punition...

D'autres vont suivre dans les jours prochains !

Hier, à Saint-Saëns, nous participions à « Coups de Théâtre » festival de théâtre amateur.

Si c'est le théâtre de l'éprouvette d'Elbeuf qui a remporté le prix du jury avec son « Ubu Roi » d'Alfred Jarry.
Nous (Compagnie du Jeu d'orgues membre de l'ATB) avons gagné le « Prix du Public », avec « Couple Ouvert à 2 battants » de Dario Fo et Franca Rame.
C'est-à-dire, qu'après chaque pièce, les spectateurs votaient, et les spectateurs nous ont choisi.

Vendredi 6 avril, je vous disais merci, car vous, les spectateurs, aviez plébicité la Compagnie du Jeu d'orgues en venant nombreux au théâtre Montdory pour « Commissaire Badouz », cette fois-ci, vous, les spectateurs, nous avez plébicité en nous offrant le « Prix du Public » à Saint-Saëns !

Ce prix, nous permettra de participer à « Estuaire en Scène » au Havre, un autre festival de théâtre amateur, où nous pourrons nous comparer aux autres troupes de Normandie (Haute et Basse) les 1er, 2 et 3 juin 2007.

Donc, cher public, rendez-vous au Havre au Petit Théâtre où, grace à vous, nous irons peut-être plus loin dans la compétition, on peut toujours rêver... ;-)

Merci, plus de 200 fois merci !

Hier soir à Barentin, (les lecteurs de ce blog le savent sans doute), j'étais sur la scène. Et ça c'est très bien passé. Peu d'erreurs de texte, nous étions tous au meilleur de notre forme et le public a ri et apprécié !

Mon entrée se faisait par le fond de la salle, mais étant donné que je traversais dans le noir, je n'ai pas bien vu la salle. Je « sentais » le public prêt à rire au quart de tour. Quand on se sent porté par le public, c'est toujours meilleur...

Mais, dès la fin du spectacle, lors du salut, j'ai senti la chaleur de l'applaudissement, et là, j'ai vu que la salle était pleine !
L'organisatrice nous dit qu'il avait plus de 200 personnes ! C'est la première fois que je jouais devant autant de monde.
La semaine d'avant au théâtre Montdory, il y avait eut une pièce de théâtre (par des pros), et il n'y avait que 23 personnes dans la salle !

Je ne sais pas si c'est la pub que j'ai fait sur certains blogs, je ne sais pas si c'est donc internet qui m'a donné autant de monde, ou si le bouche à oreille commence à bien fonctionner, mais quoi qu'il en soit, je tenais à vous dire merci du fond du coeur !

Commissaire Badouz

au Théâtre Montdory à Barentin
Vendredi 6 avril 2007
à 20h30

réservation 02.32.94.90.23 (prix des places 9€/6€)

Une comédie de Guy Foissy

Mise en scène de Patrick Bentley

Dans une paisible commune où il ne se passe jamais rien arrive le très fameux Commissaire Badouz. Est-il venu pour chasser le papillon et papillonner ou pour un crime ? Sa présence éveille la curiosité, intrigue, affole... S'il est là, c'est qu'il va se passer quelque chose !
Autour de ce personnage ô combien célèbre, venu là pour passer des vacances tranquilles, loin de toute agitation, vont tourner :
La Chaisière : femme étrange, obsédée par sa fonction et surtout qui n'attend qu'une chose, qu'on l'interne dans un asile.
La Journaliste : nièce de la chaisière, Aline Botte, maîtresse de "L'Autorité", attend le scoop qui fera de la petite pigiste qu'elle est, une grande journaliste.
L'Autorité : il veut garder le pouvoir dont il est obsédé, profite de sa situation pour séduire Aline Botte. Ces deux personnages concrétisent l'alliance du pouvoir politique et du pouvoir des médias.
Elle et Lui : Pompon et Poupette, couple de touristes venus passer un séjour paisible dans cette petite commune. Elle, toujours excitée, affolée pour un rien, paranoïaque. Lui, qui se réfugie dans "son vide" pour échapper à cette agitation permanente.
Que va-t-il se passer ? Des amourettes ? Des disputes ? Des conflits de pouvoir ? Un meurtre ?... Peut-être... Peu importe. Ce qui compte surtout c'est la rencontre de ces six personnages si différents et si complémentaires dans un jardin public.
Est-ce une photo de notre société, ou son négatif ?

Chacun risque de reconnaître un de ses propres travers, ou celui de son voisin, en observant ou écoutant ces six personnages...

Avec :
Didier Bidaux..........Commissaire Badouz
Véronique Abadie...La chaisière
Philippe Marcadey...L'Autorité
Vanessa Glacet........La journaliste
Jacques Halliez........Lui
Christine Jules.........Elle

Bernard Kouchner avec Abdul Wahid Al-Nour, le chef du Mouvement de libération soudanais, lors d'une manifestation de soutien.

Si c'est pas une manifestation de soutien, ça !

J'aime les personnages politiques qui prennent des décisions courageuses !
Corinne Lepage est de ces personnes qui savent tout de suite où est leur intérêt !!!

Choisir Bayrou quand il fait 6% dans les sondages, c'est courageux !
Choisir Bayrou quand il est en passe d'accéder au 2ème tour de la présidentielle (toujours d'après les sondages) montre un certain mépris de ses électeurs et un profond amour des portefeuilles ministériels !

Qui sera le prochain ou la prochaine ?
En tous cas, j'attends avec impatience tous ces pleutres qui ont choisi Sarkozy et qui, le moment venu, sauront préférer Bayrou, d'abord en sous-main, puis dans une indiscrétion d'un journal, puis ouvertement, avec possibilité d'arrêt à chaque étape en cas de retournement, comme tous les bons courageux...

Les relations franco-allemandes n'ont jamais été aussi proches...

La dernière lettre de Manouchian.

Sacrifions au rite de la saint-Valentin. Je vais mettre une lettre d'amour, qui est une lettre d'amour d'un homme à une femme, bien sûr, mais aussi d'un homme à une idée, d'une homme à un peuple, d'un homme à la race humaine !

C'est la lettre d'un homme qui est venu du fin fond de la Turquie Arménienne, pour mourir en libérant un pays qui l'avait accueilli.

Il s'appelait Missak Manouchian.